En fait, Pandasuite met à la disposition des graphistes et UX designers une boîte à outil très complète permettant de réaliser un compagnon de visite quasiment sur-mesure à des tarifs particulièrement attractifs. Il est même possible de concevoir gratuitement l’ensemble des éléments constitutifs de sa future application mobile native ou Web app et de la visualiser en ligne dans les conditions réelles d’utilisation. La seule limite à la gratuité est la publication de l’app sur les stores ou en ligne via un lien de téléchargement.
Ainsi, Pandasuite compte parmi ses clients le musée du Quai Branly qui est un bon exemple de l’usage progressif qui peut être fait de ce logiciel d’édition, puisque ce musée a dans un premier temps utilisé Pandasuite pour concevoir une expérience ludique accessible sur une dalle tactile et envisage aujourd’hui d’élargir le champ d’action de cet outil à d’autres compagnons de visite.
Il faut dire aussi que Pandasuite innove très régulièrement en mettant à la disposition de ses clients de nouvelles fonctionnalités comme depuis peu la reconnaissance d’images. Pour ce faire, l’éditeur a réalisé des développements sur la base de l’algorithme de reconnaissance d’images en opensource OpenCV. La Cité de la mode et du Design de Paris a été une des premières institutions à utiliser en 2018 cet outil de reconnaissance d’images pour permettre aux visiteurs de reconnaître les photographies de Peter Knapp accrochées aux murs et lancer automatiquement dans la foulée une explication sonore de l’oeuvre.
Pandasuite intègre aussi dans sa boite à outil du concepteur d’application mobile le suivi dynamique des points d’intérêt à l’aide de beacons. Là aussi, Pandasuite a décidé d’améliorer le dispositif de base qui suit la norme Bluetooth, afin de pouvoir distinguer avec une plus grande précision des objets muséaux proches les uns des autres.