« On fournit le robot, la solution, l’accompagnement, le software, les métriques, mais notre cœur de métier, notre ADN, c’est la techno qui permet de créer ces interactions naturelles et fluides. On peut les appliquer dans de très nombreux secteurs d’activité : le transport, le tourisme, le commerce évidemment, tous les services aux personnes, à l’international, les traductions… ».
Ces robots peuvent jouer un rôle d’assistant dans des lieux qui reçoivent du public, lui délivrant « une information de la façon la plus naturelle possible ». Mais ils se doivent d’être vite percutants : « 15 secondes, c’est à peu près tout ce que l’utilisateur accorde à un robot d’interaction. Si le robot répond bien pendant ces 15 premières secondes, alors il a un peu plus de temps pour délivrer un message qui sera, par exemple, publicitaire ».
« Une autre chose est super importante : on ne peut pas mettre un ingénieur derrière chaque robot », fait remarquer Xavier Basse. D’où la création par Hoomano de « la première plate-forme, un Content Management System, qui permet à des non informaticiens de paramétrer leurs propres rôles sur les robots ».
Pour Xavier Basset, le retour sur investissement d’un robot d’interaction est acquis. Celui-ci est étroitement lié au contenu qui doit être régulièrement mis à jour par ses utilisateurs. Le robot d’interaction sert à « véhiculer un message clair, bref, de manière répétitive », en apportant « un côté plus spontané et plus instinctif dans le transfert d’informations ». Découvrez la fourchette de coût en fin d’interview…
INTÉGRALITÉ DE L’INTERVIEW À DÉCOUVRIR EN VIDÉO…